L'amour des femmes africaines...
J'ai depuis longtemps voulu coucher sur papier mes sentiments et mes réflexions sur la conception de l'amour chez les femmes africaines
Ici, il n'y a très souvent aucune relation entre la sentimentalité et l'amour physique:
la femme africaine est un outil de reproduction, en général, je rencontre des jeunes femmes de 25 à 30 ans qui ont toutes enfanté avant l'âge de 16 ans
très souvent, elles ne peuvent élever leurs enfants par manque de moyens financiers, soit la jeune femme vit dans le giron de la tribu et les enfants sont pris en charge par toute la famille, soit, venant de la brousse et établie en zone touristique (pour se lancer dans un petit commerce, se mettre à la recherche d'un européen, se risquer à la prostitution, l'éducation des enfants est confiée à la parentée de brousse.
Il n'est pas rare non plus qu'ici, certaines femmes et parents abandonnent leur enfant qui sera confié à des marabouts, ceux-ci leur inculqueront l'enseignement coranique et enverront leurs enfants en rue pour y mendier de quoi manger et rapporter quelques finance à leur "protecteur" , il est aussi fréquent qu'ils leur infligent des punitions corporelles: ces enfants sont "les talibés" du Sénégal.
L'africain ne comprend pas l'humour européen, les femmes restent insensibles à la poésie amoureuse, seule la survie compte et tout est à la mesure d'une retombée financière.
D'où la chasse aux européens qui représentent l'argent infini, en période d'hivernage, l'offre se fait plus rare et excite les convoitises des jeunes femmes dans une compétition effrénée. De très fréquentes jalousies naissent entre elles, tout est bon pour faire rompre la relation, le chantage est de mise. Bon nombre d'européens tombent dans le panneau.
Ici, toute attitude amoureuse entre l'homme et la femme est exclue en public, très rares sont les couples se promenant ensemble ou se donnant la main...
DANS TOUTES LES RELATIONS ENTRE EUROPEENS ET AFRICAINS, IL N'Y A AUCUNE RECIPROCITE FINANCIERE !
mon récit pourra contraster très fort avec mes écrits précédents car ici, toutes les stratégies sont mises en place pour soutirer par n'importe quel moyen l'argent de l'européen. En voici quelques exemples frappants:
- tel africain vous voyant marcher en rue vous accoste avec des "ça va, playboy, tu ne me reconnais pas?" le piège est tendu
- les touristes des hôtels en all-in munis de bracelets plastifiés d'une couleur par séjour se promenant en ville sont apostrophés par des: "comment vas-tu? tu es à l'hôtel un tel, j'y suis jardinier... nouveau piège
- me promenant au marché de M'Bour (très peu d'européens y vivent, je suis accosté par des "je t'ai vu à Saly"...(on ne peut venir que de cette ville côtière...)
- langage typiquement féminin: j'ai besoin d'argent pour mon fils en clinique, on m'a coupé l'électricité de ma boutique, je dois voir le médecin, mon enfant est malade
j'ai deux mois de retard de loyer, pas d'argent pour aller à Dakar, j'ai un petit prêt à rembourser....
J'ai eu l'occasion hier de vivre deux événements navrants,
je connais François, un jeune barman sénégalais plutôt sympa, il me demande une bière, je réiste puis aquiesce, cela coûte 1000CFA 1,50 euro, aucune bière ne sortira du "congélateur" la poche de François se garnira de l'argent...
nous sommes au marché de M'Bour, nous sommes six européen avec Joe, sénéglais qui nous guide, en chemin, Joe rencontre un copain d'enfance qui se lie à notre groupe, après nos courses, nous allons nous rafraîchir dans un bar, mes amis blancs paient la tournée, l'ami de Joe parle de ses connaissances de guide, nous quittons, on nous a compté une bière en plus, en sortant l'ami lance: tu me donnes combien?
Ici, les billets passent sans cesse de main en main, le sénégalais a pris l'habitude de les chiffonner, les mamas les cachent dans leur soutien (humidité...)
très souvent, ceux-ci sont recollés parfois, une pièce du puzzle manque, ils ne valent plus rien, les bancontacts peuvent débiter de tels billets...
Je voulais vous parler de l'amour des femmes africaines...
Presque toutes ont un sénégalais avec qui elles font l'amour! la stratégie est de draguer un toubab (blanc) le laisser d'abord étaler sa largesse financière sans rien donner d'elle sinon l'espoir d'une relation incertaine. Ici, il n'y a entre les hommes, les femmes, les hommes toubabs et les femmes aucun donnant-donnant
L'européen peut rendre des services, nourrir des sentiments, tout est monnayable en CFA sonnants! l'africain(e) ne connaît pas le retour financier!
Pire, les relations ici sont des entreprises hasardeuses, car l'africaine n'a pas la notion du temps : mettez-lui un rendez-vous, elle arrivera peut être mais rien n'est sûr
Certaines mettent des RDV à plusieurs blancs en journée, vous êtes à la plage avec une jolie africaine, elle est joyeuse, soudain, son portable sonne, son sourire s'estompe... elle s'exprime en wolof, si c'est une demande de rdv avec un autre blanc, il lui est impossible de répondre en français, aucun problème, elle passe par un sénégalais qui centralise ses appels...
Des européens qui vivent ici depuis des années ont digéré le système, déçus par tant de sentimentalité fausse, ils "déconsidérent" toute femme, la formule est:
baiser - payer - jeter
Ils connaissent très bien le piège tendu par l'africaine, une fois installée chez vous, il est très difficile de l'en déloger à moins d'une compensation financière qui peut parfois atteindre le million de CFA (1500 euros...)
En cas de désaccord, d' interminables palabres se mettent en place, parfois aussi, appel est fait à la gendarmerie qui invitera le blanc à payer quitte à faire baisser un peu l'appétit financier de l'africaine, après la discussion et l'accord, un partage sera fait entre elle et l'officier de police.
Ici, c'est la femme sénégalaise qui aura gain de cause sur le blanc, s'il s'agit d'une guinéenne, camerounaise ou autre (appelées les niaks) c'est le toubab qui l'emportera haut la main.
Ici, si vous avez besoin d'un quad, d'une voiture, d'un ouvrier, d'une femme, tout sénégalais peut vous fournir sur le champ (le prix comprendra une compensation financière pour son intervention!
Les lois du marché multiplient par 7 le prix de base...
Et l'amour dans tout ça?
La relation de complicité entre la femme africaine et l'homme blanc n'existe pas comme en Europe, toute femme veut d'bord être mariée (statut+ dote à la famille)
donc: beaucoup d'européens se réfugient dans la stricte relation financière: "naata? combien?"
L'acte sexuel est dépourvu de toute sentimentalité (aussi bien entre africains eux-mêmes qu'entre africains et toubabs) l'acte est purement physique sans le langage de l'amour, les caresses sont réduites au maximum, l'africaine se passe des préliminaires! elle va droit au but, sans complexe, sa jouissance est refoulée instinctivement.
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