A une princesse noire
Parée de tes yeux de prés verts
Que jonchent l’or et les feuilles d’automne.
Tu as pris ma tête
Dans tes mains délicates de fée,
Tu m’as embrassé sur le front
Et je me suis reposé au creux
De ton épaule,
« Je porte ton cœur dans mon cœur. Je ne suis jamais sans lui et partout où je vais, tu vas.
Et c’est ça le miracle qui fait briller les étoiles de mon ciel. »
Ma petite Coumba,
Je te dédie ce poème de Léopold Senghor, l'écriture est parfaite.
Ton Afrique généreuse et subtile, tous ces gens au grand cœur, tous ces paysages infinis, ces baobabs qui tracent vos collines, l'avenir se trace chaque jour...
Tu me l'as bien dit de multiples fois, deux, trois mois, c'est une longue distance pour un amour naissant...
Nos différences ont toujours été une richesse commune et elle ont si souvent enrichi nos sentiments réciproques. Je mesure les difficultés de notre chemin mais il est beau! Je t'aime beaucoup.
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