Nadineke pour toujours...
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j'ai passé de bien mauvais moments en Belgique,
je me suis toujours raccroché à ton souvenir,
pour l'instant, je suis loin de chez moi,
j'ai appris à m'endormir seul, avec toute la solitude de ton image...
je refais sans cesse notre courte histoire
et je ne cesse de penser à toi
C'est vrai, et tu n'y es pour rien: ton silence est une meurtrissure
"Il n'y a pas d'amours heureux!"
Je viendrai ... à Montignac... en avril...
"Il n'y a pas d'amours heureux!"
Je viendrai ... à Montignac... en avril...
J'appréhende beaucoup le moment où je planterai les pieds à la Guinguette
J'espère que Xarrah m'aidera à passer ce cap des souvenirs et de la mélancolie
je parle toujours de moi...le narcisisme comme tu disais...
je parle toujours de moi...le narcisisme comme tu disais...
Dans ma vie d'homme, je n'ai jamais été marqué par une telle sentimentalité
que dois-je faire? à qui la faute ? à moi, bien sûr!
je sais que les jours qui s'avancent vont être très durs pour moi...
que dois-je faire? à qui la faute ? à moi, bien sûr!
je sais que les jours qui s'avancent vont être très durs pour moi...
Et pourtant, je ne suis pas le genre d'homme que tu te doutes,
l'amour perdu n'est rien, l'amour espéré l'emportera toujours!
que même les dieux ont perdu de leur magie
Quand les mots ne me répondent plus...
je courbe le dos
un jour le bout le la rue me mène là ...
à pas baisser les bras , seul face à moi-même
je me vois faire le pas
de donner mes chaines,
qu'une guerre quotidienne...
peut être que nos petits combats
valent aussi la peine
Mais tu ne les vois pas!
Quand les gestes fléchissent sous le plus fort,
Quand plus rien n'est à perdre où à prendre,
ou ne te retient,
un jour la fin des méandres
t' emmène là...
à pas baisser les bras
Parce que j'ai encore ça dans les veines,
ou pas d'autre choix
Un jour, le destin t' emmena chez moi...
l'amour perdu n'est rien, l'amour espéré l'emportera toujours!
que même les dieux ont perdu de leur magie
Quand les mots ne me répondent plus...
je courbe le dos
un jour le bout le la rue me mène là ...
à pas baisser les bras , seul face à moi-même
je me vois faire le pas
de donner mes chaines,
qu'une guerre quotidienne...
peut être que nos petits combats
valent aussi la peine
Mais tu ne les vois pas!
Quand les gestes fléchissent sous le plus fort,
Quand plus rien n'est à perdre où à prendre,
ou ne te retient,
un jour la fin des méandres
t' emmène là...
à pas baisser les bras
Parce que j'ai encore ça dans les veines,
ou pas d'autre choix
Un jour, le destin t' emmena chez moi...
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