Hommage au Frère Michel
Cher Frère,
Pour des dizaines d'enseignants et pour des milliers d'enfants qui vous ont croisé dans leur vie à l'école des frères et au Château de Clerfayt, vous resterez l'incarnation de la gentillesse.
Vous vous êtes démené corps et âme pour transformer le Château de Clerfayt à Waudrez en y créant un Institut d'enseignement spécial.
Chaque jour, même en dehors de l'horaire scolaire, vous vous souciiez de l'entretien de cet illustre bâtiment.
Vous étiez un homme profondément attachant car votre sagesse venait du coeur.
Votre sollicitude allait toujours pour nos enfants les plus fragiles.
Ceux-ci se réfugiaient auprès de vous comme auprès d'un Grand frère
Vous saviez si bien leur apporter tout l'amour qui leur manquait.
A chacune de vos visites, dans votre vieillesse, vous aviez un mot d'espérance pour chacun.
Vous étiez pour tous un homme pétri à la farine de la bonté.
Vous serez toujours le rempart contre la nostalgie juvénile de nos peines.
Aujoud'hui...vous nous quittez mais vous n'êtes pas parti tout à fait...
Vous êtes entré dans nos coeurs et vous y avez déposé l'empreinte de votre affection.
Pour des dizaines d'enseignants et pour des milliers d'enfants qui vous ont croisé dans leur vie à l'école des frères et au Château de Clerfayt, vous resterez l'incarnation de la gentillesse.
Vous vous êtes démené corps et âme pour transformer le Château de Clerfayt à Waudrez en y créant un Institut d'enseignement spécial.
Chaque jour, même en dehors de l'horaire scolaire, vous vous souciiez de l'entretien de cet illustre bâtiment.
Vous étiez un homme profondément attachant car votre sagesse venait du coeur.
Votre sollicitude allait toujours pour nos enfants les plus fragiles.
Ceux-ci se réfugiaient auprès de vous comme auprès d'un Grand frère
Vous saviez si bien leur apporter tout l'amour qui leur manquait.
A chacune de vos visites, dans votre vieillesse, vous aviez un mot d'espérance pour chacun.
Vous étiez pour tous un homme pétri à la farine de la bonté.
Vous serez toujours le rempart contre la nostalgie juvénile de nos peines.
Aujoud'hui...vous nous quittez mais vous n'êtes pas parti tout à fait...
Vous êtes entré dans nos coeurs et vous y avez déposé l'empreinte de votre affection.
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