Et toi(4)
Petite mise au point
Par le nombre de visites sur les articles intitulés "et toi", je constate que beaucoup de visiteurs s'attardent sur ceux-ci.
Je dois toutefois expliquer le cheminement de ma pensée et de mes souvenirs:
vous savez que tous les membres du personnel que je décris ne sont ni dans l'ordre alphabétique, ni dans celui de leur fonction...
En fait, je ne me suis basé que sur le fil de mes souvenirs jetant par-ci par-là un regard distant sur les listings des dernières années.
Malheureusement, comme je ne dispose pas des listes des anciens(+ de 30 ans)
je dois bien me soumettre à la volatilité de ma mémoire pour que des figures du passé lointain renaissent à mon esprit et c'est ainsi que des ajouts continuels se font jour.Vous m'en pardonnerez.Merci aux anciens qui visitent ces articles de rappeler à mon bon souvenir des anciens que j'aurais perdus de vue.
003, je ne t'oublie pas...
178.Et toi, mon prédécesseur dans les classes hôtelières, gargantuesque et
ripailleur, je ne t'oublie pas...
179.Et toi, le professeur d'hôtellerie avec toute ta dextérité dans l'ouverture des
coquilles saint-Jacques, je ne t'oublie pas...
180. Et toi, le grand maître-superviseur des nouveaux bâtiments, et tes
"escapades" au secrétariat de mon collège, je ne t'oublie pas...
181.Et toi, la très jeune surveillante-éducatrice, fille de mon ami de la rue Sèvres
Lecourbe, je ne t'oublie pas...
182.Et toi, sa jeune et jolie collègue, avec l'émerveillement de ton départ et ton
épanouissement aux Carrefours de Belgique, je ne t'oublie pas...
183.Et toi, avec tes bilans de guerre au tableau de tes élèves, avec tes coups de
gueule au théâtre de La Louvière pendant nos grandes grèves, avec tes
distractions sans fin et tes sorties de classe, j'y repense souvent...
184.Et toi, la Magda Magdalena, compagne de nos virées à la rue de Longtain,
avec tout le charme de la langue de Vondel, partie rejoindre les gilles de Binche,
je ne t'oublie pas...
185.Et toi, l'excellent professeur de cuisine aux cheveux d'argent qui
m'accompagnais tous les vendredis à l'ancienne taverne des fauves de ma cité,
je ne t'oublie pas...
dans les "coins-coins" de la danse de ton salon, je ne t'oublie pas....
187. Et toi, avec un "M" comme "majuscule", qui dirigea notre école primaire
avec toute ta "Maturité", je ne t'oublie pas...
188.Et toi, que j'oubliais dans la brume de mes souvenirs, épaulée par ton grand homme sur les rivages de Ravenne et les mosaïques de Théodora, je ne t'oublie pas...
à suivre...
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