9 décembre 1916...une nouvelle vie...comme un soleil, comme une éclaircie...
Comme un soleil, comme une éclaircie, comme une fleur qu'on cueille entre les orties...
Oui, je rejoindrai bien Marie Sarr ce vendredi 9 décembre
après un atterrissage sur l'aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar...
Demandez-moi de ne plus croire en rien pourvu que je la vois au bout de mon chemin
Moi, l'homme noir, je rejoins mon amour blanc de satin gris
Je n'ai jamais cru en quittant l'Afrique pour la cinquième fois
qu'elle me manquerait et me captiverait si fort,
Là-bas, la mort n'est pas attendue, les hommes sont déjà au paradis
Là-bas, bat le coeur du monde.
Làs-bas, l'homme a la vraie mesure de lui-même,
Là-bas, il n'y a pas de place pour l'individualisme,
Là-bas, il y des hommes et des femmes qui vivent dans l'instant présent de leurs vies,
Làs-bas, le temps est une éternité
Làs-bas, le grand soleil illumine les grands boababs
perdus dans la brousse entre les amours des hommes
Là-bas... loin et près de Vous tous...
JE M'ACCOMPLIS ET J'Y SUIS HEUREUXD'AIDER CES HOMMES QUI SONT DES FRERES
et j'emporterai avec moi toutes ces précieuses amitiés d'Europe
tu vois, cette image est celle de la tendresse
je suis l'agneau noir et tu me protèges des dangers du monde...
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